Des souvenirs qui sont trop douloureux ... » Raiponce && Stefan

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✿ Raiponce && Stefan

... pour que l'on les réveille ✿

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Une heure. Cela faisait une heure maintenant que Stefan attendait devant la porte d'un magasin de lunettes. Et tout ça pour quoi ? Pour des ray-bans. Il avait malencontreusement cassé les sienne lors d'une petite chasse, et il se devait d'en ravoir une nouvelle paire. C'était impossible pour lui de se balader sans elles et sa superbe Ferrari noire. Lui, frimer ? Pas du tout ! De plus, il fallait qu'il aille se retrouver et non pas acheter -il ne connaissait plus ce mot depuis des lustres- un magnifique Perfecto en cuir comme il les adore. La mode à l'italienne, que c'est bon ça ! Oh oui. Ses habitudes de Florence n'avaient pas changé et ne changeront certainement pas avant des siècles. Bref. Vous connaissez la patiente du jeune homme qui n'est pas très élevée n'est-ce pas ? Eh bien actuellement il fulminait. Les propriétaires du magasin avaient une demi heure de retard, ce qui est tout bonnement inadmissible ! Craquant silencieusement des doigts; il attendit encore, gigotant sur place avant d'aller s'appuyer sur la vitrine. Ils arrivèrent alors en courant, et comme Stefan s'y attendait, c'était une fille qui gérait les caisses. Ils n'étaient que deux, la boutique étant assez petite, mais l'endroit était parfait pour Stefan. Plus c'est petit, plus c'est marrant. Et tout le monde sait qu'au fond le Salvatore est un pur gamin en proie à des amusements pas très amusants pour les autres. Enfin bref...
Silencieusement, il les suivit et entra la pièce sombre un instant, qui s'illumina l'autre instant. L'homme qui était avec la caissière sortit avec un regard méfiant à l'encontre du Vampire et celui-ci commença à se dandiner dans les petits rayons de ray-bans. IL y en avait de différentes sortes, mais toutes étaient de la même bonne qualité. Il allait souvent dans ce magasin et y trouvait toujours le bonheur. Lui et la caissière se connaissaient maintenant très bien. En même temps...Stefan ne cessait de la manipuler à sa guise pour avoir ce dont il avait besoin, et cela marchait à tous les coups. Quoique parfois il n'en avait pas besoin. Elle tombait littéralement sous son charme. Au hasard, le Salvatore prit une paire de Ray-ban et la mis sur son nez, s'observant dans le miroir spécialement placé à cet endroit pour pouvoir tester les lunettes. Il s'observa sous toutes les coutures, souriant à lui-même, n'en revenant toujours pas à quel point il était magnifique avec ! A croire que la jeune fille avait lu dans ses pensées -ce qui était tout bonnement impossible vu qu'elle n'était qu'une simple humaine -sauf s'il l'avait par mégarde transformé- parce que d'une voix timide, elle lui dit. « Oui, vous êtes très beaux avec, Mr Salvatore »

Stefan se retourna vers elle, son habituel et éclatant sourire sur ses lèvres. Il n'eut pas besoin de dire quoi que ce soit pour qu'elle ne lui fasse pas payer la paire de ray-ban et il sortit de la boutique après avoir délicatement embrassé les lèvres de l'humaine. Stefan aurait bien voulut s'attarder un moment pour s’abreuver, mais ça allait devoir attendre; il devait aller se faire les muscles au lycées pour se détendre un peu. Il regarda le ciel en souriant. Celui-ci était d'un bleu pur, mais lorsqu'il dévia son regard vers le soleil, il eut une mine de dégout. Il préférait la nuit mais s'il voulait être considéré comme un humain et ne pas être chassé, il valait mieux se montrer au jour le jour afin de ne pas éveiller le moindre soupçon chez les fondateurs. Avisant sa magnifique voiture placée efficacement sur le parking, Stefan déambula vers elle et entra dedans. Il avait relevé le capot et ainsi fait de sa ferrari une décapotable noire tout simplement magnifique. Il caressa doucement le volant et prit la route direction le lycée d'un vitesse assez rapide, comme d'habitude. ce qui était étrange, très étrange, c'est qu'il n'avait jamais eu de problème avec les flics jusqu'à maintenant à cause de sa conduite dangereuse. Vous voyez, même lui sait très bien qu'il pourrait tuer quelqu'un en conduisant aussi vite ! mais la vie humaine lui importait peu. Sauf celle d'Elena qui était précieuse .... Même si il le cachait comme il le pouvait.

Une fois arrivé au lycée, le vampire gara sa voiture à l'entrée et sortit de cette dernière en ajustant ses lunettes. Il regarda les humains qui entraient tranquillement dan s le lycée pour faire leurs cours des plus ennuyeux les un que les autres ou même faire du sport comme notre vampire voulait le faire. Il se dirigea de se pas vers le terrain de foot pour aller se changer, faire un peu de course à pied et autre exercice pour se défouler. Abordant un short et un t-shirt blanc, il se dirigea malgré le froid qui aurait du l'empêcher d'aller plus loin vers le terrain jusqu'à se dernier où il commença à s’échauffer les poignets. Après les poignets il passa au cheville, c'était important de s'échauffer avant de faire toute sorte d’exercice. Une fois parfaitement échauffer, il s'élança à allure normal pour faire des tours de terrains. Il fallait dire, courir le faisait réfléchir, trop réfléchir. Cela lui donnait des maux de tête, des souvenirs désagréables revenaient ... de la torture gratuite. Une fois le dixième tour achever, il se laissa tomber au sol, la sueur le gagnait lentement mais était timide pour le moment. Il entama des pompes cette fois au sol même. Sur le sol gelé. Ses muscles saillant se faisait plus dur à chaque fois qui touchait le sol et même après tout ses entraînement, au bout du centième, sa devenait chaud. Alors qu'il continuait à faire ses pompes, se donnant au maximum pour pouvoir se dépenser aussi au maximum il fut interrompit par une voix qui lui était familière. Stefan ne releva même pas la tête, continuant ses pompes en ignorant sa présence pour le moment.

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Stefanou & Raip' Ϟ You hurt me...

« Travail sur Tokyo. Je ne serais pas à Chicago pour Noël » Je relus ses quelques mots à de nombreuses reprises. Il s'agissait du même texto que l'année précédente et de celle encore d'avant. La seule modification était le nom de la ville. Tokyo, Paris, Londres, Moscou... Chaque année, la ville où il se trouvait changée mais jamais ce n'était Chicago. Il ne serait pas avec moi pour ce jour sensé être en famille. Je me retrouvais encore avec Lydia, la femme qui m'avait élevée. On mangerait devant un film à l'eau de rose et je lui tendrais un paquet de mouchoirs lors des moments les plus émouvants. Sur un coup de tête, je balançais mon i-phone à l'autre bout de la pièce. Le mobile percuta le mur avec fracas et les différents éléments le composant se répartirent dans la pièce. Saisissant mon billet d'avion , je le déchirais avant de le laisser tomber sur le sol. Je ne verserais pas une larme, j'étais déçue mais ça ne changerait rien. Je resterais en Virginie, à grogner dans mon coin.

Lorsque j'étais plus jeune, de nombreux camarades m'enviaient. Ne pas avoir de parents sur le dos et être riche, pour eux c'était juste merveilleux. Faux. Quand on le vivait au quotidien, il n'y avait rien de génial. Certes je pouvais dépenser de l'argent à outrance et me priver de rien mais à côté de ça, j'étais toujours toute seule. Alors oui, mon armoire était composée d'une vaste collection de vêtements de créateurs. Vous savez ceux qui contiennent facilement quatre chiffres...sans virgule. Oui, mon mobilier comportait des pièces uniques de collection, tout droit sorti d'un musée ou d'une galerie d'art....Et alors?

Je venais de claquer la porte de ma résidence. Il fallait que je me rende au lycée de Mystic Falls pour un article sur leur équipe de football américain: Les Timberwolves. Avec mon humeur exécrable, j'allais sans aucun doute me montrer vraiment désagréable mais qui peut m'en blâmer? De toute façon, je ne tenais pas à me faire apprécier et à passer un bon moment avec des adolescents qui courraient après un ballon comme un âne après une carotte. Poussant la porte du gymnase je m'approchais d'un groupe de jeunes hommes se chamaillant. Ils portaient tous un maillot rouge et noir , couleur caractéristique de leur équipe. La mine limite boudeuse, les traits du visage fermés, je m'adressais à l'un d'eux. Ma voix était sèche. Plus vite j'aurais terminé, plus vite je partirais. J'avais besoin d'un bon verre et d'un bain chaud. Il n'y avait rien de tel pour se détendre!

« Raiponce Monroe, journaliste. Vous avez du être informé de mon arrivée. »

Voilà qu'il me faisait un de ses pitoyables sourires qu'il pensait charmeur et qui pourtant me donnait presque envie de rire. Haussant un sourcil, je croisais mes bras sur ma poitrine et ajoutais alors

« Eviter les longues présentations, vous allez me donner mal à la tête... Oh et peut-être que les filles ici tombent sous le charme avec ce sourire là, mais pour ma part, j'ai l'impression d'être face à un singe. »

Une belle entrée en matière Rai, félicitation! Le pauvre garçon n'osait même plus ouvrir la bouche.
C'est vingt minutes plus tard, que je sortis du gymnase. Le jeune homme voulait me montrer le terrain sur lequel ils s'entrainaient. Longeant les gradins, on s'arrêta au niveau du premier rang. C'est là que je le vis. « Stefan...» Ma voix n'était qu'un murmure mais je savais qu'il l'avait entendu très distinctement. « Stefan Salvatore c'est exact... je vois que tu le connais...» Mes yeux ne quittaient plus le vampire, je le fixais intensément en oubliant même de cligner des yeux. Le garçon près de moi avait beau me dire qu'il prenait congé, je ne l'entendis même pas. Stefan...C'était bien lui, je ne rêvais pas...Mais que faisait-t-il ici? Mon cœur se serra doucement alors que mes pieds ne m'obéissaient plus avançant vers lui. « Stefan...» A croire que c'était le seul mot que j'arrivais à sortir en sa présence. Pourtant, il ne bougea pas, continuant ses exercices. J'eus la sensation d'être invisible et dans certaines circonstances, ça blesse. Ne m'avait-t-il pas fait assez de mal comme ça? Je le dégoutais au point qu'il ne veuille pas me regarder? Dans tous les cas, il n'avait vraiment pas choisi le bon jour. J'étais assez à cran comme ça! M'approchant de lui, je m'arrêtais que lorsque mes pieds furent non loin de son visage.

« Je devrais plutôt t'appeler le lâche, ça te correspondrait mieux...»

C'est ce qu'il avait été avec moi. Il n'avait même pas prit la peine de me laisser un mot ou un sms ... n'importe quoi pour dire au revoir. Voyant qu'il m'ignorait toujours royalement, je haussais légèrement la voix.

« Regardes moi quand je te parle, tu me dois au moins ça!»

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✿ Raiponce && Stefan

... pour que l'on les réveille ✿

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Elle n'était pas toute seule, enfin elle ne l'était plus. Un homme était là aussi. Il devait lui montrer les lieux sûrement. Stefan se demandait vraiment se qu'elle faisait là. Elle l'avait suivit pendant tout son long voyage ? Toute ses victimes, elle les avait vu ? Il secoua légèrement la tête à cette pensée plus qu'absurde. Il continua ses exercices, content que la sueur était maintenant de rendez-vous, elle coulait abondamment sur sa tête et son corps muscles. Un peut plus tôt, quand elle n'était que sur les gradins -car même si il ne levait pas le regard vers elle, son ouïe lui permettait de la repérer très facilement- elle avait murmurer son prénom qui l'avait fait légèrement trembler. Il n'était pas indiffèrent à son charme mais se le cachait. Ne devant montrer rien d'humain à personne. Quand elle arriva à sa hauteur, les pieds pouvant se voir distinguer par le vampire. Elle lui fit remarquer que le surnom de lâche le définirait plus. Levant les yeux au ciel il continua ses pompes toujours sans lever le regard sur elle. Peut être pour ne pas avoir peur de retomber amoureux d'elle ? Non c'était impossible. Il était devenu l'éventreur, un éventreur ne ressentait aucun sentiment ! Il ne faisait que tuer sous les ordres de son maitre. Voilà se qu'il était maintenant. Stefan était l'éventreur au service de Klaus et il le resterait toute sa vie. C'était son destin ...

Raiponce lui dit qu'elle méritait au moins qu'il la regarde. D'un seul coup, à une vitesse inhumaine, il se retrouva devant elle, à sa hauteur. Il transpirait mais cela lui était égale, combien de fois il avait transpiré durant sa vie ? Il la toisait du regard avant d'affronter son regard. Encore légèrement essoufflé par ses exercices, il gardait néanmoins une complète maîtrise de lui-même. « Fourre toi ça dans le crâne Raiponce, je ne te dois rien ! Si je n'ai pas envie de te regarder, tu fais avec et tu n'a rien à dire, ok ? » Dit-il d'une voix indifférente tout en étant froide. A ces mots, la colère submergea de nouveau Stefan. Ses yeux étincelaient d'une animosité non dissimulée. Il croisa les bras sur son torse en la regardant, supérieur à elle. Et il l'était, physiquement et mentalement. Il pouvait lire en elle comme on lit un livre. Elle n'arrivait jamais à cacher ses sentiments, elle devait pourtant le savoir qu'il pouvait lire dans ses pensées mais elle semblait avoir un autre problème en tête. Il remarqua que même après tout se qu'il lui avait fait, après lui avoir cassé le cœur et ne pas lui donner de nouvelle, une mince partie en elle l'aimait encore. Un mince sourire vient s'étirer sur ses lèvres à cette révélation. Quelle petite sotte, aimer un vampire, surtout après se qu'il était devenu ne l'aiderais jamais. « Que fais-tu là ? Que fou tu dans cette ville ? Tu chasse le vampire ? Je te préviens, y'a pas beaucoup de vampire à se mettre sous la dent ! » Dit-il en s'apercevant qu'il avait fait une petite feinte très marrante mais s'abstenu de commentaire. Il la regarda froidement, il savait qu'il avait poser beaucoup de questions à la suite mais savait aussi que si elle répondait pas vite il s'énerverait. Et c'était mauvais pour elle ... très mauvais

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Stefanou & Raip' Ϟ You hurt me...

Je ne reculais pas, je ne tressaillis pas. Maintenant qu'il était debout face à moi, j'étais bien plus petite que lui. Par conséquent, mon seul geste fut de lever légèrement la tête pour aller à la rencontre de ses yeux. Mais je ne fis rien d'autre. Sa vitesse ne m'impressionnait plus. A l'époque où j'avais découvert qu'il était vampire, il n'était pas rare que je sursaute lorsqu'il se déplaçait à vitesse grand V. Mes pauvres yeux d'humain ne pouvaient pas le suivre quand il exerçait des mouvements trop rapides...trop vampiriques. A l'heure actuelle, je m'y étais habituée. Une seconde il était allongé, celle d'après il était face à moi, à me regarder...

Comme une imbécile, je le fixais, mon regard refusant de quitter ne serait-ce qu'une seconde ses jolies prunelles. « Fourre toi ça dans le crâne Raiponce, je ne te dois rien ! Si je n'ai pas envie de te regarder, tu fais avec et tu n'a rien à dire, ok ? » Croisant les bras sur ma poitrine, je fronçais les sourcils. Où était passé le jeune -ou pas- homme que j'avais rencontré? Celui dont j'étais tombée amoureuse? Celui là était adorable, attentionné, tendre, câlin et doux. Le Stefan que j'avais en face de moi était juste l'opposé. Il était froid, distant et très loin d'être aimable.

« Tu as changé... »

Je venais de prendre la parole après quelques minutes de silence où je l'avais observé intensément. C'est alors que je le vis sourire ce qui me fit arquer un sourcil

« Qu'est-ce-qui te fait donc sourire aussi bêtement?... »

Maintenant c'était à mon tour d'être froide lorsque je m'adressais à lui. Et pourtant, malgré ma mine renfrognée, mon regard me trahissait toujours. J'en étais amoureuse...Malgré le fait qu'il m'ait abandonné, qu'il soit parti comme un lâche, une partie de moi était éprouvée toujours des sentiments pour lui. Oh je nierais devant lui, devant tous ce qui me poserait cette question là mais je me devais au moins la vérité à moi-même. Je l'aimais toujours. « Que fais-tu là ? Que fou tu dans cette ville ? Tu chasse le vampire ? Je te préviens, y'a pas beaucoup de vampire à se mettre sous la dent ! » Moi, chasser les vampires...peut-être aurai-je dû mais non, je ne les traquais pas. Si je m'étais lancé sur cette voix là, c'est par la belle gueule d'ange en face de moi par laquelle j'aurais débuté. J'aurais tué celui qui m'avait fait souffrir. Mais non. J'avais apprit à me défendre contre eux mais c'est tout.

« Je ne vois pas pourquoi je répondrais à tes questions, je ne te dois rien non plus »

Je n’avais aucune conscience du risque auquel je m’exposais mais ce n’était pas nouveau. Stefan le savait, je n’avais pas peur et en plus j’étais un aimant à problème. J’arrivais toujours à m’exposer au danger sans y faire attention.

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✿ Raiponce && Stefan

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Elle n'avait pas peur, elle était en confiance avec Stefan. Mauvaise idée, très mauvaise idée. Faire confiance au sombre Stefan était la plus grosse erreur qu'elle allait faire dans sa vie après être tombée amoureuse d'un vampire ... Il était plus grand elle, physiquement et mentalement, elle était obligée de lever le regard pour pouvoir le défier du regard, lui montrer que tous les humains n'étaient pas tous pareil. Que tous les humains n'étaient pas tous des peureux qui avait peur de découvrir le monde. Certaine personnes pouvaient être plus créatif que d'autre ou encore aimer le sang et la nuit comme les vampires. C'est vrai que la race humaine à toujours intéresser Stefan de très près. Il a tout de même été humaine à une époque de sa vie mais c'était il y a longtemps, le monde de maintenant ne ressemble en aucun point à son époque si belle où tous les hommes respectaient les femmes, où l'on parlait bien, on ne tuait pas pour le plaisir sans craindre la sentence réserver au criminel. Oui, le monde de maintenant, se n'était que du grand n'importe quoi mais pourtant, il y avait des êtres humains qui réussissaient à avoir un boulot et une famille, avoir un beau prince charmant à la maison pour lui demander comme c'est passé sa journée et la prendre tendrement dans les bras pour pouvoir la couvrir de ses doux baisers. Quand Stefan avait été avec Raiponce, il aurait tout donner pour pouvoir redevenir un simple humain, pouvoir manger à sa faim de délicieux plats, pouvoir entendre le doux chant des oiseaux sans être obliger à écouter leurs cœurs battent. Quand il avait été avec Elena, cette idée était beaucoup plus forte, il voulait l'avoir pour lui toute l'éternité mais son côté gentilhomme lui à demander son avis, lui laissant le choix et regarder le maintenant ...

La jolie blonde fronça les sourcils en écoutant le nouveau Stefan qui avait quitter le monde réel, il était partit dans le monde des rêves. Enfin plus des mauvais souvenirs, il essaya tant bien que mal de se sortir de cette mauvaise état mais une phrase resta loger dans sa tête, comme si Elena lui soufflait juste derrière l'oreille ... Son cœur se serra en l'entendant, il eu de la pitié pour toute les filles qu'il avait rencontré au cours de sa vie. « - Tu as changé... » Souffla la demoiselle sortant Stefan de sa rêverie. Il sourit à nouveau comme un débile et la regarda sans un mot. Bien sûr qu'il avait changer. Passant du gentil Stefan au Stefan éventreur sans pitié qui se tapait ses victimes dans un lit avant de les vider de leurs sang. « -Qu'est-ce-qui te fait donc sourire aussi bêtement?... » Demanda d'un tons froid. Elle jouait à un jeu très dangereux pour sa vie là. Il faudrait pas beaucoup d'effort au vampire pour lui casser le cou ou encore la torturer jusqu'à la laisser mourir lentement au sol. « - Je ne vois pas pourquoi je répondrais à tes questions, je ne te dois rien non plus » Fini elle par répondre à la question de Stefan. Un sourire sadique s’étira sur ses lèvres et en moins de temps qu'il faut pour le dire, il arriva sur elle, la plaquant au sol en lui serrant le cou. Ses yeux injecter de sang la transperçait. Sa bouche entrouverte se préparait à lui déchiqueter la gorge, ses canines s’intaillait au soleil et il poussa un petit grognement sourd terrifiant. Glaçant le sang de ses victimes. « - Tu voudrais peut être que je te tue ? Au moins je ne serais pas déranger par une gamine inconsciente du danger qu'elle prend en restant avec moi ! Ou alors ... j'irais voir le mec qui était avec toi tout à l'heure ... A toi de voir comment je vais faire pour me débarrasser de toi ... Alors réponds à mes questions avant que je m'énerve ! » Dit-il froidement. L'éventreur la voulait morte, l'infime partie de Stefan le gentil voulait lui sauver la vie. Il parlait en se mélangeant entre deux idées mais son côté sombre était beaucoup plus présent. La seule chose à faire c'est de réussir à le faire sentir rien qu'un petit sentiment humain. Il fit transmettre cette idée par la pensées à Raiponce mais sur une faible connexion. « - Que fais-tu ici ? Me le fais pas répéter une nouvelle fois Raiponce ! » Menaça t-il d'une voix sombre tout en desserrant un peut son cou pour pouvoir la laisser répondre.

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Stefanou & Raip' Ϟ You hurt me...

Bien des choses avaient changé depuis la dernière fois qu'on s'était vu. Cependant ce petit détail là, je l'ignorais totalement. Quand j'avais connu Stefan, il ne croquait pas dans le cou des personnes mais dans ceux de pauvres petits animaux. Il me l'avait dit, il m'avait expliqué qu'il était passé au régime animal. Je lui avais même demandé si ce n'était pas dur pour lui d'être proche de moi, d'entendre mon cœur battre. Il ne m'aurait jamais fait de mal, il me l'avait même promis. C'était durant une de ses si belles journées passées à ses côtés. J'étais dans ses bras et il avait embrassé mon front tendrement.

Aujourd'hui, son regard avait changé, il avait changé, contrairement à moi. J'étais toujours la même jeune femme têtue , impulsive et qui va toujours au bout des choses quitte à me mettre dans le pétrin. C'est à peu près ce qui était en train de se produire en ce moment d'ailleurs. J'avais une trop grande gueule depuis toujours et bien sûr je ne me laissais pas faire. Je n'obéissais pas aux ordres que me donnais un homme qui avait disparu de ma vie voilà des mois et des mois.

Avant même de pouvoir esquisser le moindre geste, mon dos heurta l'herbe constituant le terrain. Je ne grimaçais pas, pourtant ce n'est pas l'envie qui m'en manquait. Ma main vint se poser sur celle de Stefan qui se tenait au niveau de mon cou. J'essayais tant bien que mal de lui faire desserrer son étreinte, étouffant. Cette sensation était vraiment désagréable! Mes lèvres s'étaient entrouvertes cherchant désespérément le moindre filet d'air. Mon regard, quant à lui, passa de nos mains à ses jolis yeux verts qui en cet instant étaient menaçants. Malgré la violence dont il faisait preuve, je le regardais toujours de cette même façon. Il était prêt à enfoncer ses canines acérées dans mon cou, à me vider de mon sang et je n'arrivais toujours pas à le détester. Pourtant Dieu sait que j'avais un sacré paquet de raisons de le détester mais non... je l'aimais ...

Mon regard toujours plongé dans le sien, je fis glisser ma main le long de son bras. « - Tu voudrais peut être que je te tue ? Au moins je ne serais pas déranger par une gamine inconsciente du danger qu'elle prend en restant avec moi ! Ou alors ... j'irais voir le mec qui était avec toi tout à l'heure ... A toi de voir comment je vais faire pour me débarrasser de toi ... Alors réponds à mes questions avant que je m'énerve ! » Il n'avait qu'à me tuer, tout serait bien plus facile. Je ne souffrirais plus, tout serait fini pour toujours et à jamais. Mon cœur en miettes ne me ferait plus souffrir comme il avait pu le faire depuis qu'il m'avait abandonné. Les deux bras à présent le long du corps, je ne bougeais pas, les yeux toujours rivés sur lui. « - Que fais-tu ici ? Me le fais pas répéter une nouvelle fois Raiponce ! » De l'air pénétra dans mes poumons et ma respiration se fit rapide, tout comme les battements de mon cœur. Je reprenais doucement mon souffle. « Un jour, un homme m'a promis que jamais il ne me blesserait ... Il était doux, adorable, tendre et attentionné alors j'ai pensé qu'il disait la vérité... » J'approchais mon poignet de son visage. «Tu veux me tuer Stefan? alors vas-y ... »

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Le regard toujours aussi menaçant la transperçait. A chacune de ses respirations, un grognement sourd sortait de sa bouche. Sa respiration était devenu saccadé comme si il venait de faire un peut de course à pied. Mais il n'avait pas courut, pour l'heure il venait de terminé des pompes mais cette humaine était venu l'interrompre. La sentence qu'il donnait au interrompue de son espèce il les vider de leurs sang plus ou moins lentement, en utilisant diverse manière toute très divertissent. Il pouvait leur ouvrir les veines pour après les laisser se vider de leur sang ou encore les découperait et les éventrerait comme un Ripper doit le faire. Mais cette fois-ci, il ne l'avait pas tuer, lui avait simplement demander gentiment la raison de sa venu à Mystic Fal's. Elle ne pouvait pas être là pour lui car si c'était le cas elle aurait déménager il y a plus de dix mois. Stefan n'aimait pas beaucoup que l'on joue de cette manière avec lui, encore moins quand c'était un humain qui prenait pars à ce jeu.
Raiponce vient glisser sa main le long du bras du vampire qui frissonna malgré lui. L'observant de ses yeux vert alors que la belle humaine reprenait lentement son souffle. * si je lui coupe les veines ... elle parlera sans doute ! * pensa t-il alors qu'elle n'avait pas bouger d'un centimètre, les yeux plonger dans ceux de Stefan. « - Un jour, un homme m'a promis que jamais il ne me blesserait ... Il était doux, adorable, tendre et attentionné alors j'ai pensé qu'il disait la vérité... » Dit-elle alors que ses paroles se mirent à tourner en boucle dans le crâne du ténébreux vampire qui commencer à en avoir mal à la tête. Il passa la langue sur ses canines qui avait déjà pousser, elles dépassaient de sa lèvre supérieur. Stefan avait soif, très soif. C'est vraiment dommage qu'une si jolie fille meurt dans ses conditions. Mais ... il ne pouvait rien contre sa vrai nature.

Elle approcha son poignet de son visage et le vampire acqua un sourcil. Elle était maintenant suicidaire ? Mais si il fouillait dans sa mémoire, il pouvait voir une femme souriante, elle avait la joie de vivre, respirant le bonheur mais aussi le sang. A chaque fois qu'il était près d'elle, les battements de son cœur le mettait toujours en danger, les mettaient en danger. Il se nourrissait de plus de sang mais rien à faire, l'odeur persistait. Il avait toujours réussit à résister en essayant de penser plus à l'amour qu'il éprouvait pour elle que l'odeur de sang frais qu'elle dégageait. L'amour ... se sentiment incontrôlable ... Stefan ne savait plus trop se qu'était l'amour. Il ne savait plus qu'elle goût ça avait. Quand il était en présence d'Elena, il ressentait quelque chose d'infime qui battait contre sa poitrine mais il n'avait jamais trouver se que c'était.
« - Tu veux me tuer Stefan? alors vas-y ... » Finit-elle par souffler. Elle ne devrait pas faire confiance à se vampire là.
Stefan se mordit la lèvre supérieur, se n'était pas l'envie qui lui manquait de planter ses crocs dans sa chair tendre, en pleins sur une grosse veine pour y faire couler le sang mais quelque chose d'invisible l'en empêchait. Il ne pourrait pas dire quoi mais c'était un sentiment plus que désagréable qu'il aurait voulu faire disparaître mais ce sentiment là persistait. Mais voulant montrer à son cerveau se qu'il était devenu, il approcha ses lèvres de son poignet et y déposa un baiser. Pourquoi se geste si délicat venant de lui ? Il l'ignorait complètement. La seconde d'après, ses lèvres c'étaient refermer sur son poignet, le tenant fermement sans avoir a utiliser ses doigts. Stefan planta avec une délicatesse qu'il ne connaissait pas dans la peau de son poignet et le sang circula aussitôt de sa veine à la gorge de Stefan. Mais bizarrement, il s'arrêta très rapidement. Ne prenant même pas le temps de goûter à son sang.

Il relâcha la morsure mais avant de pousser le poignet, il le reprit entre ses lèvres et automatiquement, sa langue se mise à passer avec attention sur les deux troues qu'il avait formé. Quand la blessure se referma complètement, il poussa d'un geste dur son poignet en la regardant à nouveau, troublé. Il n'avait jamais eu l'attention de faire ça. Se qu'il pensait c'était lui ouvrir le poignet et faire couler le sang pour pouvoir la faire parler. Mais cela c’était passé diffèrament. Son visage blêmit comme si il venait de se prendre un coup de poing dans le ventre. « - Pourquoi ... es-tu là ? » Demanda t-il une nouvelle fois mais avec une voix beaucoup plus douce qu'avant. La voix qu'il utilisait ... avant. Mais avec toujours un petit fond de froideur. Se qui se passait dépassait la logique de son univers. Les mots menaçant qu'il voulait dire ne sortait pas de sa bouche quand il l'ouvrait.